ALAIN BASHUNG
nous a quitté, vaincu par cette maladie,
Il nous était apparu, terriblement diminué aux victoires de la Musique 2009
nous a quitté, vaincu par cette maladie,
Il nous était apparu, terriblement diminué aux victoires de la Musique 2009
Il parait que cela me sera salutaire, les conseilleurs ne sont pas toujours les marcheurs, un des médecins (sympa, mais un peu irréel) me demande de faire une demi-heure de marche rapide par jour, les plus objectifs me disent une demi-heure de marche à mon train (adieu la rapidité)
Le soleil étant là, les oiseaux se mettant à chanter, je m'suis dit
- Bécassine t'as aucune excuse, quand il faut y aller, faut y aller
Je suis donc partie en bordure de Sarthe, munie de mon APN (qui lui n'est plus d'accord pour fonctionner) et voici
Chateauneuf, vu de loin
quelques barques, gare à vous les poissons, les pêcheurs se préparent. Il y a parait-il beaucoup d'anguilles, je rêve déjà d'une pochouse
et de timides violettes qui pointent le bout de leur nez
et votre Bécassine
Par MamzelleCat, huit voeux pour l'année 2009
1) que mes trois enfants soient parfaitement heureux
2) que mes petits enfants rayonnent de bonheur
3) que je gagne à la cagnotte du 13 maRS au Loto pour les rendre encore plus heureux
4) comme dans Faust, que l'on me rende ma jeunesse
5) une maison sur la presqu'ile de Giens
6) une maison à Kaysersberg
7) un chalet pour l'hiver dans les Pyrénées
8) un appartement à Tel Aviv
le tout bien sur avec le personnel adéquat pour l'entretien
Je passe la main à
Année 5769 du calendrier hébraïque, les fêtes de Pourim se situent entre le 9 et le 11 mars
La fête de Pourim (פּוּרים les hasards), le 14 Adar, est la célébration du miracle qui a sauvé les juifs en Perse, vers l'an 480 avant l'ère courante. C'est aussi le symbole de la prise de conscience par le peuple juif que c'est toujours Dieu qui dirige l'Histoire même s'Il semble dissimulé, et que les Israélites ne peuvent percevoir Sa présence qu'en suivant Sa Torah.
L'histoire de Pourim est racontée dans le Livre d'Esther
Histoire de Pourim
Peu de temps après la permission donnée aux juifs par Cyrus de retourner à Jérusalem, il restait une forte population juive en Perse, dont Suse était la capitale.
Le roi Assuérus (485 à 465 avant l'ère courante), petit-fils de Cyrus, après avoir répudié son épouse Vashti, choisit pour nouvelle reine la belle Esther. Mais Esther n'avait pas révélé au roi qu'elle était juive, sur les conseils de son oncle Mordékhaï.
Ce même Mordékhaï, dans ce temps-là, avait sauvé la vie du roi en ayant déjoué le complot de ses gardes contre le souverain. Le fait fut inscrit dans les annales du royaumeHaman l'amalécite, un homme orgueilleux et cruel, était le conseiller du roi ; et il haïssait Mordékhaï, car ce dernier avait refusé de se prosterner devant lui, les Juifs ne se prosternant que devant Dieu. Il en conçut une haine pour le peuple juif entier, et complota pour le détruire en un discours malheureusement trop connu [37] ; et le roi lui confia le soin de faire ce que bon lui semblerait. Haman, muni du sceau du roi, envoya dans toutes les provinces l'ordre de massacrer les Juifs le 13 Adar, date qu'il avait tirée au hasard.
Mordékhaï persuada Esther de parler au roi au nom du peuple juif. Pour s'apprêter à risquer sa vie en allant voir le roi sans avoir été convoquée, Esther passa trois jours en prière et en jeûne et avait demandé à tous les Juifs d'en faire autant. Le roi la reçut avec bienveillance, elle demanda à parler lors d'un festin qu'il organiserait le lendemain.
Ne pouvant dormir, le roi se fit lire les annales du royaume, où on lui rappela comment Mordékhaï avait déjoué la conspiration contre lui, et qu'il n'avait été fait aucune récompense à cet homme. Au matin, il demanda à son conseiller Haman quel traitement il se devait de réserver à un homme qu'il souhaitait honorer. Haman donna son avis en croyant que le roi pensait à lui : une parade en ville sur le cheval du roi. Assuérus lui ordonna alors de faire ce qu'il avait dit pour Mordékhaï.
Le soir, lors du festin, le roi demanda à Esther quelle était sa requête, qu'il promettait de lui accorder d'avance. Esther lui demanda la survie ainsi que celle de son peuple, que Haman avait condamnées. C'est ainsi qu'Assuérus publia un nouvel édit pour annuler celui de Haman, qui fut pendu sur la potence qu'il avait lui-même dressée pour Mordékhaï.
Le peuple juif, sauvé, passa du deuil à la réjouissance ; on célébra des fêtes. C'est ainsi que fut instaurée, le 14 Adar, la fête de Pourim.
Quatre particularités s'appliquent au jour de Pourim, 14 Adar, toutes issues du Livre d'Esther :
On écoute la lecture publique de la méguila (rouleau) d'Esther à la synagogue, deux fois : la veille au soir, et le matin du 14 ;
on envoie des cadeaux comestibles aux amis et aux pauvres, en symbole de solidarité dans l'épreuve ;
en souvenir du demi-shéquel que l'on donnait pour le Temple, l'usage est de donner une contribution pour les œuvres d'Israël ;
on fait un banquet, dans l'après-midi, à l'image du festin d'Esther.
La coutume est également de se déguiser, car la vraie nature des personnages s'est révélée et leurs masques sont tombés
Après une matinée grise et pluvieuse, le soleil a montré le bout de son nez pour me permettre de balader une amie parisienne venue me visiter
La LOIRE à ANCENIS
Toujours ANCENIS
SAINT FLORENT LE VIEIL L'église
Le tombeau de Bonchamp par David D'Angers
Charles Melchior Artus, marquis de Bonchamps, né en 1760 à Juvardeil en Anjou, mort le 18 octobre 1793. Il était un homme politique français, fils de Anne-Artus, Marquis de Bonchamps, commandant des armées vendéennes pendant l'insurrection des royalistes contre la République pendant la Révolution française.
Général prudent et habile, il battit quelquefois les troupes républicaines ; mais ses collègues l'accusèrent souvent d'indécision et de tiédeur. Il fut choisi en 1793 avec Maurice-Louis-Joseph Gigot d'Elbée comme général de l'armée catholique et royale de Vendée. Il obtint d'abord quelques succès dans l'Anjou, et contribua à la prise de Bressuire et de Thouars mais échoua devant Nantes.
Le 17 septembre 1793, l'Armée catholique et royale, commandée par Charette et Bonchamps, rangée en bataille sur le bord de la grande route de Tiffauges à Cholet, faisant face à Torfou, fut attaquée par les Républicains sous les ordres de Kléber.[1]
Kléber, déjà grièvement blessé et se sentant de plus en plus pressé par les Vendéens, arriva au pont de Boussay, y fit placer deux pièces de canon[2]. Après cet échec, le général en chef Canclaux ordonna au général Beysser de se porter sur Boussay. Charette et Bonchamps résolurent de l'attaquer. Ils se joignirent à Montaigu, et là, à la suite d'un combat où le général républicain, atteint d'un biscaïen, passa pour mort pendant quelques moments, sa colonne fut mise dans un désordre complet et s'enfuit, vivement poursuivie jusqu'à Aigrefeuille.
De Montaigu, Charette marcha sur Saint-Fulgent, où il battit de nouveau les Républicains, leur prit 22 canons, leurs bagages et de nombreuses munitions. Le lendemain, 22, Bonchamps et d'Elbée assaillirent près de Clisson le général Canclaux. Déjà Bonchamps s'était emparé des chariots, des ambulances et d'une partie de l'artillerie républicaine ; mais Charette ne vint pas au rendez-vous, et les Vendéens furent vaincus à leur tour.
Le 30 septembre, Kléber, placé sous les ordres de Canclaux, rencontra, à deux lieues de Montaigu, les avant-postes de Bonchamps et de d'Elbée. Ces généraux étaient campés de ce côté avec 40 mille hommes et une nombreuse artillerie. Kléber donna le signal de l'attaque. [3] Après une lutte acharnée de deux heures, les Vendéens, troublés par l'impétuosité d'une charge à la baïonnette, se rompirent et furent mis en déroute.
Aux combats de Saint-Christophe-du-Ligneron et de la Tremblaie, les Vendéens, commandés par Bonchamps, d'Elbée, Lescure et La Rochejaquelein, sont encore battus après une lutte sanglante. Lescure fut mortellement blessé.
A la bataille de Cholet qui eut lieu le 17 octobre 1793, vingt-quatre mille Républicains combattirent contre quarante mille Vendéens découragés, très mal armés et encore plus mal disciplinés. Il y eut peu de batailles où les masses se soient entrechoquées avec autant de fureur. Les Vendéens eurent longtemps l'avantage. Ce fut le jeune général Marceau qui décida la victoire à se ranger de son côté.[4] La perte des insurgés fut évaluée à 8 000 hommes tués ou blessés. D'Elbée y fut blessé grièvement et Bonchamps mortellement. Ce dernier, porté à Saint-Florent-le-Vieil, obtient la grâce et la libération de 5 000 soldats républicains le 18 octobre[5].
Bonchamps meurt le 18 octobre à 11 heures du soir à la Meilleraie en Varades. Il est enterré dans le cimetière de la ville. M. de Barante, rédacteur des Mémoires de Madame de La Rochejaquelein, prétend que quelques jours après les républicains l'exhumèrent pour lui trancher la tête, et l'envoyer à la Convention.
Parmi les prisonniers grâciés se trouvait le père de l'artiste David d'Angers. Ce dernier érigea la célèbre statue du "Pardon de Bonchamps" dont on peut voir l'original à Saint-Florent-le-Vieil et une copie à la galerie David d'Angers ... à Angers.
Source Wikipédia
La LOIRE vue du haut de SAINT FLORENT
Excellente demie journée qui m'a permis de revoir la maison où je vivais il y a dix huit ans et que j'ai quitté avec beaucoup de regrets
avec son parc où tout a été coupé, quel dommage!!!!!!!!!!!
Il y a 26 ans, à 0 h 45, tu venais au monde, neuf livres!!! superbe bébé
Tu as été un bébé adorable (dans notre lit jusqu'à 3 ans), une fillette turbulente qui faisait damner ton frère et ta soeur ainsi que leurs amis respectifs...........
Tu étais la petite dernière de vieux parents qui te passaient tout
Tu as été une adolescente qui m'a fait devenir chèvre
Une jeune adulte qui s'est laissé vivre
Mais j'espère que cette année là sera le départ pour une vie d'adulte responsable,
BON ANNIVERSAIRE DEBORAH
Nous t'aimons et t'embrassons très très fort
dans mon caddy
des chaussons, des cache-coeurs, des doudous, tous très mimis pour les bébés à naître chez les copinautes
Ma lecture du jour,
dans ma bibliothèque depuis longtemps, mais que je n'avais pas encore eu le courage de lire
INTRODUCTION :
Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La table mise et des visages amis
Considérez que si c'est un homme
Que celui qui peine dans la boue
Qui ne connait pas de repos
Qui se bat pour un quignon de pain
Qui meurt pour un oui pour un non
Considérez si c'est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu'à la force de se souvenir
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver
N'oubliez pas que cela fût,
Non ne l'oubliez pas :
Gravez ces mots dans votre coeur
Pensez-y chez vous, dans la rue
En vous couchant, en vous levant ;
Répétez les à vos enfants
Ou que votre maison s'écroule
Que la maladie vous accable
Que vos enfants se détournent de vous
Chimiste de formation, Primo Levi voit son destin prendre une autre voie avec la Seconde Guerre mondiale. Avant de s'engager dans le mouvement de résistance antifasciste, il travaille clandestinement dans différentes usines et déménage ainsi de Turin à Milan. Arrêté en décembre 1943 avec ses compagnons, Primo Levi transite par le camp de Fossoli et se retrouve presque deux mois plus tard à Auschwitz. Il est ensuite affecté dans le laboratoire de chimie de l'usine de Buna, ce qui lui permet de bénéficier de conditions de travail moins pénibles. Après la libération et l'exode pour rejoindre l'Italie, il ressent le besoin d'écrire ses souvenirs et donne naissance à 'Si c'est un homme'. Il se consacre alors à un travail de mémoire : à travers ses récits poignants de vérité et d'humilité, Primo Levi devient un témoin de son temps pour les générations futures. En 1987, on le retrouve en bas d'une cage d'escalier. Officiellement, c'est un suicide mais certains ne l'expliquent pas